Le plus grand disque d’Otto Klemperer ?
Selon moi oui.
Il faut dire que lorsqu’il entre au Kingsway Hall le 23 septembre 1961 pour diriger les premières sessions de son nouvel enregistrement de la Deuxième Symphonie de Gustav Mahler – il l’avait gravée une première fois au temps de la Continuer la lecture de Ressuscité→
Schumann symphoniste fut déconsidéré de son vivant et stigmatisé après sa mort : son génie devait rester prisonnier de son piano. Si Gustav Mahler essaya de donner aux symphonies une seconde chance hélas en les massacrant Continuer la lecture de Après Schumann…→
En 1921, une année avant que les concerts de la Verein für Musikalische Privatauffürhungen fondée par Arnold Schönberg et Alban Berg ne cessent sous la pression de la crise économique, Erwin Stein réduisit la Quatrième Symphonie de Continuer la lecture de Paradis de poche→
Yakov Kreizberg eut-il le temps, avant sa mort prématurée, de diriger son Orchestre Philharmonique des Pays-Bas dans cette Quatrième de Mahler que je l’entendis faire si fluide, si lumineuse et si sombre à la fois avec l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo ?
Premier disque d’Andris Nelsons avec « son » nouvel orchestre, le Symphonique de Boston. Je passe sur une Ouverture de Tannhäuser brassée large mais sans relief, pour m’attarder sur le véritable objet du disque, la Deuxième Symphonie de Sibelius. Comme ses confrères lettons, Nelsons est chez lui chez l’ennemi russe : Tchaikovski, Chostakovitch restent son pain quotidien. Continuer la lecture de 2×2→