Un érudit, traducteur de tout Shakespeare en néerlandais, l’ami de Mengelberg et surtout l’admirateur de Mahler, dont il fut proche. Cela aurait pu suffire. Mais non, Alphons Diepenbrock se voulut compositeur. Il fut rien moins qu’un génie et demeure le trésor le plus méconnu de la musique hollandaise post-romantique Continuer la lecture de Mahler amstellodamois