L’unique concerto que Dvořák écrivit pour Hanus Wihan (qui renonça à sa création laquelle fut assurée par Leo Stern) est le Graal des violoncellistes, d’une exigence technique folle mais d’une inspiration absolue, il les contraint à la transcendance.
Marc Coppey n’échappe pas à cette règle Continuer la lecture de Le Graal du Violoncelle