Glenn Gould l’osa le premier : détacher dans les cahiers de maturité et de grand âge que Brahms caressait ou rugissait du piano, ce qu’il nommait intermezzo et qui dans son esprit si féru de littérature claviéristique baroque, était comme un souvenir de Scarlatti, musique de reclus et d’autant plus fantaisiste Continuer la lecture de Les deux Mondes