Les tiendrait-on enfin ces nouvelles lectures des deux Apothéoses de Couperin que l’on espérait depuis le geste généreux et tendre qu’y infusaient Jordi Savall et Hespèrion XX en 1985?
Il y a quelques semaines sortait chez Harmonia Mundi le nouvel opus d’Andreas Staier, consacrées aux Variations Goldberg de J. S. Bach. Extraordinaire version, sans doute l’une des plus belles versions discographiques récentes de ce corpus majeur, réalisée sur un clavecin somptueux (cf. ci-dessous, ici).