La sonorité d’abord, discrète, ailée, merveilleusement dans le piano sans jamais rien qui l’y enferre ; les harmonies chantent, la pédale, économe, dore jusque l’aigu (écoutez la dernière minute d’Arabeske), la main gauche timbre les contrechants, les polyphonies transparaissent. Continuer la lecture de La jeune fille et Schumann