« Spohr est un mollusque, mais un noble mollusque », raillait Schumann, portrait du compositeur autant que de sa musique. Un autre jugement ? Beethoven trouvait l’harmonie de ses symphonies trop encombrée de chromatismes.
Les Ouvertures de Weber ont changé de visage depuis que l’interprétation historiquement informée les a revisitées. Adieux les sombres clartés déployées par Wolfgang Sawallisch ou Rafael Kubelík (un de ses disques majeurs, trop méconnu, trop peu réédité) Continuer la lecture de L’âge d’or du romantisme→
Josef Holbrooke demeure le génie maudit de la musique britannique comme le fut Rued Langaard pour la musique danoise : des originaux absolus, libres dans la marge, maudits par l’institution malgré leurs succès publics Continuer la lecture de Le roi des ombres→
Schumann symphoniste fut déconsidéré de son vivant et stigmatisé après sa mort : son génie devait rester prisonnier de son piano. Si Gustav Mahler essaya de donner aux symphonies une seconde chance hélas en les massacrant Continuer la lecture de Après Schumann…→