Les curieux iront incrédules entendre Im Abendrot, ultime des Quatre derniers Lieder par quoi Matthias Goerne referme cet album postromantique. D’autres se seront immergés dans les Wesendonk Lieder où le piano empli de rêves troubles de Seong-Jin Cho fait mieux qu’un orchestre Continuer la lecture de Pfitzner