Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Lorenzo Soulès ouvre son nouvel album avec les mystères des deux Livres d’Images, manière de placer l’alpha du piano moderne chez Debussy. Continuer la lecture de Filiations
Pas un marteau dans ce piano. L’adage est célèbre concernant Walter Gieseking jouant Claude Debussy, et se vérifie d’abord dans ses précieux 78 tours Columbia, collationnés ici. Ce toucher d’ondiste va au cœur de la Suite bergamasque, irréelle à force de mystère sonore (cette fluidité qui n’exclut jamais la diction) Continuer la lecture de Le Magicien
C’est le secret de Debussy : abolir le temps et l’espace. Si sa musique doit à toute force être un paysage, c’est d’abord un horizon, une de ces toiles dont le ciel occupe les deux tiers. Car au-delà de la figuration, une spiritualité s’impose Continuer la lecture de Mystère et Martyre
Voici quelques lustres, Boris Berman avait enregistré pour Chandos un album Debussy joué à plein clavier, charnel, dense de chants et de couleurs, qui m’avait surpris. Images, Pour le piano, des Epigraphes antiques animés, puis plus rien, du moins chez Debussy. Continuer la lecture de Quarante-huit Préludes