Voici peu, Hypérion offrait à Steven Osborne quasi le même programme (voir ici), disque opulent où le pianiste anglais osait un Debussy fils des Fauvistes plutôt que des Impressionnistes.
À son envers total, Stephen Hough, de son clavier ductile, nous fait son Debussy sur les pointes des timbres, danseur subtil Continuer la lecture de Mystère Debussy→
Auteur d’une des plus parfaites intégrales du piano de Ravel, Steven Osborne est vraiment chez lui chez nous. Déjà en 2005, ses Préludes de Debussy, voluptueux et solaires, marquaient sa différence dans une discographie pléthorique ; plus de dix ans après, le voici qui nous offre un disque dont le sujet est Continuer la lecture de Maintenant Debussy→
Qui peut le plus peut le plus. Après tant d’albums où ses fabuleuses facilités digitales finissaient par faire oublier l’artiste que sait être Marc-André Hamelin, le voici qui se confronte aux cahiers d’Images de Debussy et à son Second Livre de Préludes.