De l’immense legs que Walter Gieseking engrangea pour Columbia Londres, les Debussy seuls sont régulièrement réédités – j’en attends sous peu une nouvelle édition – les Ravel déjà moins, et les concertos auront tous reparu, mais les autres gravures ?
Après un double album consacré aux enregistrements Homocord, voici qu’APR ose ouvrir la boîte de Pandore, nous faisant retrouver d’un coup les albums Schumann, Schubert et Brahms enregistrés à Abbey Road au long des années cinquante. Continuer la lecture de Le piano du magicien