Un malaise s’instilla lorsque je proposais de regrouper tous les enregistrements consentis par Irmgard Seefried à la Deutsche Grammophon en un fort coffret de la collection Original Masters – la soprano, passée 1960, ne se souciait plus du tout de ce qui ne la préoccupait d’ailleurs guère auparavant : la justesse. Avec cela, le timbre s’était asséché. Il fallait mieux oublier. Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer, Vol. 18 : Seefried en jaune