Le voyage continu. Après un Premier Livre très en lumière, Pietro de Maria nous redit son Clavier bien tempéré si évident, le menant à son terme. Simple, simplissime, fluide et pourtant plein d’interrogations (écoutez les sinuosités du Prélude BWV 882, la polyphonie qui s’y déploie, naturelle, organique et pourtant inquiète). Continuer la lecture de Deuxième Livre