Sir Arthus Bliss voulait offrir à Kathleen Ferrier une œuvre qui lui ressembla. Il venait d’entrer dans sa soixantaine, radicalisait son langage d’orchestre, le faisant plus âpre, cherchait un texte, mieux Continuer la lecture de La Magicienne
Sir Arthus Bliss voulait offrir à Kathleen Ferrier une œuvre qui lui ressembla. Il venait d’entrer dans sa soixantaine, radicalisait son langage d’orchestre, le faisant plus âpre, cherchait un texte, mieux Continuer la lecture de La Magicienne