Henri Vieuxtemps passa pour la résurrection de Paganini, c’est du moins ainsi que Robert Schumann le considérait le plus sérieusement du monde. Le violoniste virtuose écrivit pour lui-même sept concertos qui peu à peu quittèrent le brio pour la poésie, et où l’orchestre se dévoile personnage à part entière. Continuer la lecture de A la conquête d’un autre archet