Avant sa disgrâce qui l’aura contraint à l’exil en Espagne puis à ses années lorraines, Henry Desmarest reprit en quelque sorte le flambeau de Lully. Circé devait renouveler le succès de Didon qui avait sacré Desmarest, tout juste trentenaire, nouveau maître de la tragédie lyrique, mais la demi-teinte de l’accueil, qui n’autorisa que sept représentations, empêchera l’ouvrage d’être repris. Continuer la lecture de La Magicienne