À quoi tient une destinée … dans les années 70 et au début des années 80, Pilar Lorengar fut l’une des plus fabuleuses grandes sopranos lyriques de son temps, le grain si particulier de sa voix la plaçant à part.
Le public allemand la chérissait au point qu’elle lui offrit l’essentiel de ses prestations, Lorin Maazel en faisant sa soprano Puccini favorite (ce dont sa série chez CBS ne se fit hélas jamais écho Continuer la lecture de Pilar →
Leur duo s’était formé au disque, d’abord pour le Rigoletto scaligère de Rafael Kubelik, puis sous la baguette de Sir Georg Solti dans un Don Carlo devenu légendaire : Carlo y était l’Infant, Dietrich le Marquis de Posa dans la prison qui verrait bientôt le meurtre du second. Continuer la lecture de Frères de voix →
75 ans, c’est jeune pour un orchestre si l’on songe à la Staatskapelle de Dresde. Mais créé et surtout animé dès ses premières saisons par le vrai génie que fut Victor Desarzens, la formation lausannoise, orchestre Mozart extensible avec les forces proches de Genève, avait toutes les chances de son côté. Continuer la lecture de Regard en arrière →
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