Les Goldberg, osées du piano, se suivent et auraient fini par se ressembler si Pietro de Maria ne les avait pas jouées soudain en invitant un orchestre dans ses cordes, si Maria Perrotta ne les avait dorées à l’or fin de son clavier si subtil ou si Xavier Torres n’avait rappelé Continuer la lecture de De l’irrévérence comme vertu