Réunir sur un même disque le Premier Concerto (1916) de Karol Szymanowski (où le violon se prend pour une cantatrice, le légendaire cantabile de Pavel Kochanski aidant) et la Symphonie Lyrique à laquelle Alexander von Zemlinsky mit sa dernière touche durant l’été 1923, c’est souligner la sensualité panthéiste qui réunit deux œuvres comme indifférentes aux charniers de la Grande Guerre. Continuer la lecture de La Guerre et après