Un cycle Beethoven parfait, où sa battue claire avait rencontré l’instrument idéal, un seul disque Schubert, un doublé Berlioz, au moment de quitter les Symphoniker, voici que Philippe Jordan ajoute en guise de cadeau d’adieux les Symphonies de Brahms.
Sunwook Kim entre après l’orage en élargissant le temps, ou plutôt en le modelant. Il n’entre pas droit, où en pressant comme certains pour affirmer que le concerto est d’abord leur pré-carré Continuer la lecture de Le maître du temps→
Bartók évidemment, la grande anthologie des œuvres pour piano où pas un opus d’importance ne manque, reste ce phare, qui ancra dans les discothèques des mélomanes des années cinquante le nom d’Andor Földes, au point d’éclipser le reste de son héritage discographique. Continuer la lecture de Bartók et pas seulement→
Bruckner, toujours, et Beethoven aussi. Je désespérai qu’Herbert Blomstedt vînt enfin au cycle complet des Symphonies de Brahms, deux du moins avec le Gewandhaus avaient paru sous des étiquettes différentes (Quatrième pour Decca, Deuxième chez Querstand) Continuer la lecture de Immensité→
Jeune homme, Philippe Bianconi fréquenta le grand répertoire germanique auprès d’Hermann Prey, l’accompagnant chez Schubert, trouvant dans son chant le chant même de tout un pan du répertoire pianistique.