On sait à quel point Bruno Walter, qui avait dans l’oreille le timbre de Kerstin Thorborg et les mots de Madame Cahier, était certain d’avoir trouvé la nouvelle incarnation vocale du Chant de la terre, et en particulier de l’Abschied, en entendant le contralto d’une noire lumière de Kathleen Ferrier. Continuer la lecture de Le Chant avant le Chant