Juin 1942, Karl Böhm dirige presto sa chère Staatskapelle de Dresde, son orchestre de cœur dont il fut, adoubé par Richard Strauss, le directeur musical durant les années les plus sombres qu’ait connues l’Allemagne (Fritz Busch avait choisi l’exil), pour une lumineuse Cinquième de Schubert où Mozart lui-même semble sourire. Continuer la lecture de L’Adieu à Dresde