Dès l’abrasion des accords qui ouvrent la Symphonie berlinoise, la messe est dite : Joana Mallwitz et son orchestre signent un disque Kurt Weill majeur, d’abord pour les deux Symphonies, peu mais toujours bien enregistrées (De Waart, Bertini surtout Continuer la lecture de Péchés capitaux