Quel contraste entre les touches tendres de l’aquarelliste Webern qui caresse de son pinceau la Schatz-Walzer et la débauche d’or dont Arnold Schönberg pare la Kaizer-Walzer, cette mise en regard dit assez qu’au sein même de cette doxa de la Seconde École de Vienne Continuer la lecture de Quatrième de poche