Quatre opus pour piano coulés de la plume du jeune Bartók : noir c’est noir. La Marche funèbre pour Kossuth ouvre l’album, clavier d’ombres, qui se prolonge dans la vaste Première Rhapsodie, l’Opus 1 d’un jeune homme de vingt-trois ans. Ce sombre poème Continuer la lecture de Romantisme noir