Ce fut un des événements de la dernière Kunstfest de Weimar : donner en concert la Cantate pour le 20e Anniversaire de la Révolution d’Octobre que Prokofiev brossa par contrainte mais non sans génie en 1937 : depuis Alexandre Nevski, il était habitué à faire briller sa plume malgré les contingences de la propagande. Continuer la lecture de Sang et cendres