Et si Niccolo Castiglioni était le secret le mieux gardé de la musique moderne italienne avec Bruno Maderna ? Comme Maderna, il flirta avec Darmstadt, et comme lui, et au contraire de Nono et de son compatriote milanais Manzoni, il considéra le dogmatisme prôné par Boulez et Stockhausen avec une sorte d’indifférence bienveillante. Continuer la lecture de Psaume Sphinx