Manfred Honeck retient le premier temps de l’Allegro non troppo, prenant à contrepied Carlos Kleiber, qui le coulait dans la respiration globale du mouvement et d’ailleurs de toute la symphonie. Continuer la lecture de La fin du monde
Manfred Honeck retient le premier temps de l’Allegro non troppo, prenant à contrepied Carlos Kleiber, qui le coulait dans la respiration globale du mouvement et d’ailleurs de toute la symphonie. Continuer la lecture de La fin du monde