Tant de Winterreise, et au fond, un m’aura suffit longtemps, celui, tardif, de Hans Hotter et Erik Werba. Il y avait là un son comme revenu de tout. Le revoici enfin, non que Peter Mattei soit comme Hotter ce Wotan, mais par le timbre, par le poids dans le mot qu’allège la ligne tenue, élancée, par le récit, une proximité paraît. Continuer la lecture de Seul