Biber, Schmelzer, Muffat, ce large chant du violon qui ouvre la Sonate en ré majeur ? Non, Romanus Weichlein auquel Olivier Fortin et ses amis de l’Ensemble Masques consacrent un plein disque, puisant dans son Opus 1, L’Encaenia Musices, paysagé de quelques Capriccio, Chaconne ou Passcaglia, signés Kuhnau, Pachelbel, Kerll, Böhm ou Muffat. Continuer la lecture de Sonates sans Rosaire