Le piano de Leoš Janáček, après plusieurs décennies où seul un brelan de musiciens tchèques, Rudolf Firkušný, Radoslav Kvapil et Josef Pálenícek furent ses inlassables avocats, a soudain conquis les pianistes et les mélomanes.
Quel programme ! Karim Said a rassemblé des œuvres de Berg, Bartók, Janáček, Webern, Enesco et Schoenberg pour saisir l’esprit musical de Vienne durant les dix premières années du XXe siècle – sinon les Trois Rondos sur des thèmes slovaques de Bartók écrits en 1916 et 1927. Continuer la lecture de Vestiges de l’Empire→
Après tant d’années et de disques de virtuosité, Marc–André Hamelin éprouverait-il un impérieux besoin de musique ? Je chroniquais voici peu sa première incursion phonographique chez Debussy, coup de maître, et je découvre avec Continuer la lecture de Les sentiers secrets→