Sándor Kónya n’avait peur de rien. Calaf, Mario Cavaradossi, Lohengrin, Radames et même O Paradiso.
Bayreuth l’invitant en 1958 découvrait un Lohengrin absolument exotique et tombait sous son charme : le temple était envahi par le bel canto, horreur ! Mais mon Dieu quel ténor ! Continuer la lecture de La voix Janus