Étudiant au Conservatoire de Prague, Josef Vlach rêvait déjà de constituer son quatuor. Ce sera finalement fait en 1950, Vlach imposant un style cravaché, où les rythmes éclataient, où le jeu était orchestral, une sorte de révolution en soi.
Beethoven aurait-il envoûté les pianistes italiens ? Davide Cabassi nous offrait hier les deux premiers volumes, assez magistralement réalisés, de ce qui semble devoir être à terme une intégrale ; aujourd’hui, Giovanni Bellucci, qui lui a bel et bien bouclé Continuer la lecture de Sans concession→
La petite tempête circulaire qui ouvre la Waldstein indique immédiatement le degré de « beethovénisme » du pianiste qui la joue : elle doit être fantasque, c’est ici que Beethoven ouvre la porte sur d’autres mondes, que se crée ex-abrupto une autre grammaire Continuer la lecture de Né pour Beethoven→
La poignée de Sonates de Beethoven enregistrées par Andor Földes pour la Deutsche Grammophon au début de la stéréophonie aura bercé mon enfance, sous étiquette Heliodor ou Résonance.