On aura tout écrit sur Arturo Benedetti Michelangeli, tout et son contraire et pas mal de lieux communs, d’ailleurs relatifs plus à sa personne qu’à son art.
Iván Fischer me l’a assez souvent répété : « je ne suis pas fait pour les intégrales, elles me contraindraient à diriger des œuvres qui ne me parlent pas ». Et voilà que paraît l’exception qui confirme la règle : rien moins que l’intégrale des Symphonies de Beethoven. Continuer la lecture de Première intégrale→
Il y a un paradoxe Markevitch : on ne connaît que le chef d’orchestre, alors qu’il fut d’abord un compositeur considérable dans ses jeunes années, dont les partitions flamboyantes suscitaient l’admiration de Bartók et de Stravinski, rien que cela. Continuer la lecture de Le grand Igor→
Tout récemment, je chroniquais un double album Meloclassic consacré à des enregistrements en concert de Wilhelm Backhaus jouant Beethoven et voici que je mets dans la platine tout un disque Mozart publié par le label autrichien BelvedereContinuer la lecture de L’autre Backhaus→
Ses Variations Goldberg nous avaient tiré l’oreille. Beaucoup d’idées, une technique parfois incertaine, une volonté claire de répondre à Glenn Gould en copiant son toucher et même ses maniérismes. Intéressant, inabouti, frustrant. Tout comme Continuer la lecture de Le cas Pienaar→