Lorsque je demandais à Ruggero Gerlin qui parmi ses élèves lui tenait à cœur, il me répondit du tac au tac : Władysław Kłosiewicz. Voyant mon étonnement, il sortit son stylo-plume et me nota le patronyme de ce claveciniste sur une page de son petit calepin. Je rangeais la page dans mon portefeuille, l’oubliais Continuer la lecture de Couperin grand teint