C’est mal, mais je ne résiste pas. J’ai signé le texte de la réédition Rameau des Marcelle Meyer chez Erato, mais me taire ici sur ce que je considère comme l’un de mes disques de chevet m’est impossible – foin du devoir de réserve.
Oui, on a juste un peu de retard, une année ! Mais c’est le bonheur du discophile tentant de ranger sa discothèque, une pile s’écroule, un disque reparaît : Le Piano français de Chabrier à Debussy. Cet album qui ne va pas jusqu’à Ravel pour mieux saisir Continuer la lecture de Magda la rousse→