Chostakovitch voyait dans La Passagère le chef-d’œuvre de Weinberg au point qu’il aurait voulu être l’auteur de ce qui fut, qui plus est dans la Soviétie des années soixante-dix Continuer la lecture de Fondu au noir
Archives par mot-clé : Mieczysaw Weinberg
Lyrico
Désarmant Mieczysaw Weinberg : il ouvre son Concertino pour violon et cordes avec un cantabile du soliste, phrase infinie qui module tendrement dans une douceur soyeuse, pas assez pourtant pour que le rêve ne soit pas triste. Gidon Kremer avait en quelque sorte révélé l’œuvre au disque, l’affirmant un rien trop. Continuer la lecture de Lyrico