Je sais le goût d’Augustin Hadelich pour les concertos de la seconde moitié du XXe siècle : il joue avec un grand sens poétique L’Arbre des songes de Dutilleux et enflamme le Concerto de Thomas Adès, il fallait bien qu’un jour il enregistre celui de Ligeti où un ménestrier fou est pris dans le piège d’un orchestre silencieux ou monstrueux. Continuer la lecture de Concertos hongrois