Lorsque je demandais à Georges Sébastian qui avait été le plus grand Tristan, il me répondit du tac au tac : « Burian, Karel Burian ». Il n’avait pas eu la chance de le diriger, contrairement à Melchior, Lorenz ou Suthaus, mais gamin, il l’avait vu en scène à l’Opéra de Budapest et gardait intact le souvenir de sa voix immense Continuer la lecture de Tristan