Voici une année, Herbert Schuch publiait son premier album pour Naïve : programme Bach Liszt Messiaen Ravel Murail. Cela, pour une carte de visite, ce n’est pas banal.
La critique française le découvre quasi alors, eh bien voilà, elle aura l’occasion d’en apprendre plus sur l’un des tous grands pianistes d’aujourd’hui puisque son éditeur d’hier, Oehms Classics, sans rancune, réunit en une boîte les huit CDs qu’il enregistra entre 2004 et 2012, où son art de timbrer fait de lui un magicien qui n’est pas loin d’égaler en cela Radu Lupu. Continuer la lecture de Le Maître des timbres