Un quasi-silence ouvre ce disque : Evgeni Bozhanov murmure la transcription raréfiée, une essence de notes, que Max Reger aura tirée de Morgen de Richard Strauss, merveille qui étend sur l’auditeur un rêve profond que prolonge encore dans le même tempo large le Poco Allegretto de la Troisième Symphonie de Brahms, toujours résumé au piano avec le même soin minimaliste par Reger. Continuer la lecture de Schubert paysagé