Le Concours Chopin de 1955 sacrait un jeune pianiste chinois qui avait mieux compris les Mazurkas que bien des pianistes polonais. Quelques disques tirés par Musza des épreuves du concours lui firent illico un nom jusque de l’autre côté de l’Atlantique. Continuer la lecture de Fou Ts’ong, jeune homme