On n’en finit pas de découvrir le catalogue de Joseph Jongen, trop longtemps réduit à la fameuse Symphonie avec orgue. Né à Liège en 1873, mort en 1953, ce compositeur belge laisse un vaste corpus inscrit dans la droite lignée de ceux de Ravel et de Roussel, comme d’ailleurs l’œuvre de son frère, Léon Jongen, sur lequel je reviendrai bientôt. Les partitions de chambre de Joseph, toutes splendidement ouvragées, ont été les premières à renaître au disque. Continuer la lecture de Pour l’amour de Jongen