« Spohr est un mollusque, mais un noble mollusque », raillait Schumann, portrait du compositeur autant que de sa musique. Un autre jugement ? Beethoven trouvait l’harmonie de ses symphonies trop encombrée de chromatismes.
Injustices ! Si Spohr resta jusqu’en ses ultimes opus un classique vivifié par le premier Romantisme, celui de Weber Continuer la lecture de Le chaînon manquant