Le Couperin d’Olivier Fortin ne sera pas celui de tout un chacun. Adieu le faiseur de portraits, le pastelliste des sentiments, vous qui entrez ici, oubliez la Carte du Tendre. D’abord, l’instrument le commande : le fameux « faux » Nicholas Lefebvre inventé de toute pièces en 1984 est une splendeur, mais sévère, et qui joue hautain de timbres, de tons, d’accents. Continuer la lecture de L’art du discours