Monte-Carlo, 26 avril 1911, le rideau des Ballets Russes se lève sur un décor de Léon Bakst, ciel d’azur, saules pleureurs, Arcadie. Serait-ce, avec une année d’avance, déjà Daphnis ? Non. C’est Narcisse et Echo de Nikolai Tcherepnine. Diaghilev avait tourné le dos au ballet de la cour de Saint-Pétersbourg, non sans l’avoir pillé de certains de ses meilleurs éléments. Continuer la lecture de Narcisse et Echo