Un Fauré de pas encore vingt ans apprivoise son piano : la Mazurka et surtout la Sonate (1863-1865) sont d’absolus inédits, le discours qui se souvient de Bach et ornemente avec délice est irrésistible, d’une fraîcheur inouïe, avec quelque chose d’espiègle Continuer la lecture de Alpha et Oméga