L’entre chien et loup déchirant qui ouvre le Premier Quatuor pourrait couler de la plume d’Alban Berg, sonnet lyrique d’une sombre tendresse, qui semble sous-tendue par un poème : Bartók fut-il jamais plus près de la Seconde Ecole de Vienne qu’ici ? Continuer la lecture de Le chant de la nuit