Elle tombe à pic cette Messe en si toute en lumière au moment où les abîmes nous gagnent. Lars Ulrik Mortensen la conduit en tempos tranquilles, fait chanter les polyphonies qu’éclairent encore les dix solistes aux chant ailé, au latin doré, c’est assez merveilleux de baigner ainsi dans tant de sérénité et de simplicité. Continuer la lecture de La messe heureuse