Un tropisme schönbergien poursuit Markus Stenz : après des Gurre-Lieder hantés, voici qu’il immerge son Orchestre du Gürzenich de Cologne dans la nuit étouffante du Pelleas und Melisande où le compositeur du Pierrot Lunaire épuise la syntaxe post-romantique jusqu’à la faire imploser. Continuer la lecture de Schönberg again